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Curiosités ardéchoises - vie quotidienne
Les « chauffeurs de la Drôme » ont sévi au début du XXe siècle et sont connus pour leur pratique barbare qui consiste à « rôtir » les pieds de leurs victimes afin de se faire indiquer l’endroit où sont cachées leurs économies. Mais on trouve aussi leur trace dans les archives de l'Ardèche !
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Le retour des trains voyageurs sur la ligne SNCF de la rive droite du Rhône dans le Gard en 2022 et le projet de son retour en Ardèche, a mis un coup de projecteur sur cette situation largement soulignée par la presse nationale, qui fait de l’Ardèche le seul département de France sans train de voyageurs depuis 50 ans.
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Au XIXe siècle, de nombreux villages de l’Ardèche reçoivent des enfants abandonnés et ce sont les familles les plus modestes qui s’assurent ainsi un petit complément de revenu, dans un département rural, à l’économie fragile. L’Ardèche, comme d’autres départements du centre de la France, devient un lieu « d’élevage » d’enfants abandonnés dont une part importante provient d’autres départements : Rhône, Bouches-du-Rhône, Loire et départements limitrophes comme la Haute-Loire, la Drôme, l’Isère et le Gard. L’expression « d’industrie nourricière » est utilisée à cette époque.
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L’Ardèche est renommée, on le sait. Ses paysages, sa gastronomie, ses coutumes et bien-sûr, ses habitants sont inspirants. Voici un ouvrage, illustré, écrit et édité, uniquement au Royaume-Uni, consacré au Vivarais. Il fait désormais partie du patrimoine ardéchois, conservé aux Archives départementales de l’Ardèche.
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De tous temps, les codes secrets ont décidé du sort des hommes et des nations. Grâce à eux, les militaires ont pu mener leurs guerres dans l’ombre, les puissants et les bandits protéger leur trésor… et les amants cacher leur passion. C’est de ces derniers dont il s’agit dans cette curiosité : des amoureux qui échangent des billets doux, en version chiffrée, durant la Première Guerre mondiale.
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Alors que l’entreprise privadoise Clément Faugier fêtait le 30 octobre dernier ses 140 ans et que d’autres entreprises – comme Sabaton ou Imbert – et des producteurs locaux mettent chaque jour à l’honneur ce produit qui fait la renommée de l’agriculture ardéchoise, le lien entre Ardèche et châtaigne est toujours bien vivant au lendemain des fêtes de fin d’année.
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