Parmi les coléoptères xylophages, la plupart des espèces se rencontre exclusivement dans la nature. Très utiles, ces insectes « nettoient » les forêts en se nourrissant de bois dépérissant. Parmi la centaine d’espèces connues en France, ce sont celles appelées communément « vrillettes » qui se rencontrent dans l’environnement humain et qui occasionnent des dégâts sur les objets patrimoniaux.
ConsulterPubliée entre 1751 et 1772, l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert contient de nombreux savoirs et est donc porteuse des idées des Lumières. Le pouvoir ecclésiastique, opposé à ces idées, censure l’œuvre et empêche sa publication. Les Archives départementales possèdent une des éditions de l’Encyclopédie.
ConsulterL’Ardèche est renommée, on le sait. Ses paysages, sa gastronomie, ses coutumes et bien-sûr, ses habitants sont inspirants. Voici un ouvrage, illustré, écrit et édité, uniquement au Royaume-Uni, consacré au Vivarais. Il fait désormais partie du patrimoine ardéchois, conservé aux Archives départementales de l’Ardèche.
ConsulterSurveiller, écouter : depuis les origines les autorités ont cherché par tous moyens à contenir, et réprimer au besoin, les opposants à l’ordre établi. Les fonds d’archives à différentes époques en témoignent. Ils illustrent aussi les méthodes et les outils utilisés, comme l’espion, le délateur, le contrôle postal et les écoutes téléphoniques.
ConsulterLa légende raconte que saint Andéol aurait eu la tête fendue en forme de croix à la demande de l’empereur romain Septime Sévère. C’est l’évêque Bernoin, en 858, qui est à l’initiative de la recherche des reliques du martyr. Si l’épitaphe de la pierre tombale de l’évêque, conservée dans l’église de Bourg-Saint-Andéol, mentionne bien la découverte du corps du martyr, les données historiques originales manquent. Cela laisse à penser que cette inscription aurait servi davantage à faire naître le culte de saint Andéol au moment de l’édification de l’église carolingienne, et cela pour les siècles suivants…
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